«Nous ne savons pas précisément quels problèmes évoque M. Rossier, puisqu’il ne nous a pas adressé tous les documents transmis aux autorités de surveillance.» Publiée dans «Le Nouvelliste», cette déclaration de Roberto Schmidt, président du gouvernement valaisan, fait bondir Joël Rossier.
Le chef du Service de l’environnement, libéré mercredi de son obligation de travailler après avoir démissionné en juin, a saisi, jeudi, le préposé cantonal à la protection des données et à la transparence. Auprès de Sébastien Fanti, compétent pour vérifier les déclarations publiques des autorités, il prétend que le Conseil d’Etat a connaissance des courriers qu’il a adressés à l’Inspectorat des finances (IF). Son argumentaire:ces derniers faisaient partie de la prise de position, qu’il a sollicitée de la part du gouvernement.
«Une lettre de deux pages sans annexes»
Dans ces documents,...