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Pourquoi l’Etat du Valais se sépare abruptement de Joël Rossier, chef du Service de l’environnement

L’Etat du Valais a libéré Joël Rossier de son obligation de travailler, ce mercredi. Et pas parce que le désormais ex-chef du Service de l’environnement a saisi les autorités de haute surveillance du canton, jure le Conseil d’Etat.

21 août 2019, 17:02 / Màj. le 21 août 2019 à 20:19
Joël Rossier touchera son salaire jusqu’au 31 octobre.

Joël Rossier ne dirige plus le Service valaisan de l’environnement. Ce mercredi, le Conseil d’Etat l’a libéré de son obligation de travailler, avec effet immédiat. N’étant pas à proprement parler licencié, il touchera son salaire jusqu’au 31 octobre. Cette date est celle qui avait été convenue, lors de sa démission, en juin dernier.

A lire aussi: Le chef du Service de l’environnement (SEN) démissionne

Depuis, ses rapports avec son employeur se seraient tendus. «L’esprit de collaboration nécessaire n’est réciproquement plus suffisant pour permettre des relations de travail adéquates», indique le canton. Le désaccord concernerait les moyens alloués au service. Suffisants pour l’Etat du Valais; insuffisants pour Joël Rossier.

Autorités de haute surveillance saisies

Le communiqué de presse ne mentionne aucune autre raison à cette mise à l’écart abrupte. Or, cette décision intervient alors que Joël Rossier a saisi les autorités de haute surveillance du canton. Début juillet, il a transmis...

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