«On pourrait ne pas voir l’impact de la fermeture du tunnel du Grand-Saint-Bernard sur l’évolution du PIB cantonal», estime Vincent Riesen, directeur de la Chambre de commerce et d’industrie. Loin de lui l’idée de minimiser ce que certains commerces vont subir comme inconvénients d’une fermeture qui devrait durer jusqu’au 30 novembre. «Le problème sera localisé, c’est un peu comme lors de la fermeture d’une route, les commerces voisins en pâtissent.»
On sait déjà que la société qui exploite le tunnel du côté suisse devrait perdre 1,5 million; les restaurants, stations-services et hôtels situés sur l’axe du col seront impactés, tout comme certains autocaristes qui conduisent des clients à Aoste.
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Une étude lancée en Italie
Du côté valdôtain, le problème est pris au sérieux. Une étude a été lancée pour quantifier l’impact de la fermeture par l’assessorat à l’économie....