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Sion sous les étoiles: la chimie fragile d'un festival, le commentaire de Jean-François Albelda

16 juil. 2018, 05:30
Jean-François Albelda, responsable de la rubrique Culture du Nouvelliste.

C’est assez évident, à voir sur les terrasses des villes l’engouement du public pour les matchs de cette Coupe du monde 2018. Le foot a joué son effet dans la baisse de fréquentation de cette édition de Sion sous les étoiles. Ça a aussi été le cas pour le Festival de la Cité à Lausanne, qui connaît un fléchissement assez comparable.

Mais sur la plaine de Tourbillon, sur les réseaux, en ville de Sion, ailleurs encore, d’autres arguments affleuraient dans les conversations. Une programmation jugée à tort ou à raison un brin moins attrayante que celle de l’an dernier, un prix des billets excessif, un mélange des genres chaque soir, qui pouvait amener même des fans à renoncer à payer le plein prix pour seulement voir leur favori.

C’est pourtant l’ADN du festival, cette mixité générationnelle et stylistique. Lors des quatre premières années, cette identité s’est affirmée et consolidée jusqu’au...

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