A sa façon, quand le groupe écossais était au sommet de sa gloire dans les années 80, Simple Minds a préfiguré beaucoup de ce qu’allait devenir la pop du nouveau millénaire, celle que déploie aujourd’hui en stades Coldplay. Etincellante dans l’esthétique, fédératrice, engagée pour de grandes causes. Après la parenthèse acoustique de 2016 - qui doit beaucoup à une programmation au Zermatt Unplugged - le band de Jim Kerr revient à son origine sur «Walk Between Worlds» et jette même les bases de son avenir sonique. A constater ce dimanche 15 juillet à Sion sous les étoiles.
Jim Kerr, est-il juste de dire que votre concert au Zermatt Unplugged a été un tournant récent pour Simple Minds?
Oui, assez juste. Quand on nous a invités à venir y jouer, c’était la première fois où nous nous posions avec des guitares acoustiques pour revisiter notre répertoire. Et on a adoré...