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La détermination de l’Italie les a séduits

Une heure avant le coup d’envoi, Didier Tholot et Charly Roessli ont lancé le match à Monthey.

19 juin 2016, 23:47 / Màj. le 20 juin 2016 à 00:01
Monthey- 19 juin 2016 - Rencontre du Nouvelliste Spécial Euro 2016, avant le match Suisse-France avec Didier Tholot, entraîneur français du FC Sion et Charly Roessli, ancien entraîneur valaisan du FC Sion. (Le Nouvelliste/ Héloïse MARET)

«Pour l’instant, le niveau de l’Euro est moyen», lance Didier Tholot. «Vous êtes gentil, je dirais même qu’il est très faible. Je lui mettrais d’ailleurs une note de 3 sur 10 pour l’instant», ajoute Charly Roessli. Le décor est planté. Le ton est donné.

Tholot regrette l’absence de Ziegler

Une heure avant le début de la rencontre entre la Suisse et la France, l’actuel entraîneur du FC Sion et l’ancien dirigeant valaisan de la formation sédunoise ont abordé le duel entre les meilleurs frères ennemis, évidemment, mais pas seulement: il a aussi été question du niveau de l’Euro, de l’absence de joueurs clés ou encore des favoris au sacre final. «La France? Non. Je la vois atteindre le dernier carré mais il lui manque quelque chose pour aller au bout, constate Didier Tholot. Je me méfierais de l’Italie. Leur premier match a été un chef-d’œuvre tactique. L’Allemagne...

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