Victime de comportements peu scrupuleux, Emmaüs a subi les effets de la taxe au sac au début de l’année 2018. «Parfois, on retrouve carrément des poubelles», expliquait en mai dernier au moment du tri des marchandises Vincent Proton, directeur de la communauté à Sion. Un cas loin d’être isolé. Caritas, Job Transit ou encore l’Aslec s’étaient joints à ce coup de gueule, espérant une prise de conscience de la population. Sept mois après, ces comportements sont heureusement devenus rares, mais la mise en œuvre du principe de pollueur payeur continue de peser sur les finances d’Emmaüs.
Comment a évolué la situation depuis la parution de l’article en mai dernier?
Cet article nous a fait beaucoup de bien. Les gens ont compris que l’on devait payer pour l’élimination des déchets,...