Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Ce modèle économique de la Super League qui ne colle pas au huis clos

Sport populaire par excellence, le football pourrait se jouer sans spectateurs durant quelque temps. Cette situation sera-t-elle économiquement viable pour les équipes de Super League? Edmond Isoz et Raffaele Poli en parlent.

18 mai 2020, 18:00
Hormis les acteurs sur le terrain, les tribunes des stades suisses pourraient bien rester vides si le championnat va à son terme.

Treize rencontres. C’est ce qu’il reste au menu de la Super League pour boucler son exercice. Le championnat ira-t-il à son terme? On en saura davantage le 29 mai au terme de l’assemblée générale de la Swiss Football League (SFL).

Si la saison reprend, les matchs se joueront à huis clos. Or qui dit huis clos dit manque à gagner financier. Et cela même si un vent d’espoir a soufflé sur les pelouses du football professionnel suisse mercredi dernier lorsque Viola Amherd a annoncé une aide de 350 millions de la Confédération pour les ligues de hockey et de football. «On parle de prêts. Certains présidents de club, qui sont chaque saison sur la corde raide, ne voudront pas les demander puisqu’il va bien falloir les rembourser un jour», rappelle Edmond Isoz, ancien directeur de la SFL.

A lire aussi: Coronavirus: 500 millions pour aider le sport à surmonter la...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias