dans le sillage des superstars du trail qui ont médiatisé ce sport, Kilian Jornet en tête, les foules se pressent pour avaler les sentiers de montagne au pas de course. «Au fond, on a mis le nom «trail» sur une activité qui existait déjà. On a transformé le coureur à pied, souvent urbain, en un touriste en lui faisant croire qu’on lui offrait quelques kilomètres en liberté», détaille Marc Langenbach, docteur en géographie à l’Université de Lausanne (UNIL) et auteur d’une thèse sur les enjeux des sports de nature pour le tourisme. Il a présenté les résultats de ses recherches sur le site de Bramois de l’UNIL. Et dans la pléthore d’activités décortiquées, le trail est devenu un véritable phénomène auquel le Valais n’échappe pas.
Le Val d’Anniviers, Evolène et les Portes du soleil se lancent
Plus de compétitions, plus d’effort. Et la contemplation dans tout ça? «C’est simplement...