Plus de huit millions d’électeurs sont appelés à voter, demain, au Guatemala, pour les élections présidentielle, municipales et parlementaires. La campagne a été marquée par l’exclusion de la compétition d’une figure de la lutte anticorruption et des menaces de mort.
Les Guatémaltèques voteront, cette fois encore, avec l’espoir, jusqu’ici déçu, de trouver la solution aux maux du pays: la corruption, la pauvreté, la violence et l’exode de milliers d’habitants en quête du «rêve américain».
Alors qu’elle figurait parmi les favoris, Thelma Aldana, une ancienne juge anticorruption et ex-procureure gé...