«Le Pas-de-Lona est incroyable. Les gens gueulent, ça te porte.» Pour sa première participation au Grand Raid, Tristan, bientôt 15 ans, n'a pas été déçu. «Avec le prénom inscrit sur le cadre du vélo, les gens nous encouragent comme s'ils nous connaissaient», ajoute-t-il encore tout excité. A ses côtés, Marc, le père, et Elliot, le grand frère, sont nettement moins loquaces. Visages marqués, maquillages de boue et lèvres sèches, ils portent encore les séquelles d'un effort tout juste achevé. «J'ai eu des crampes depuis la moitié du Pas-de-Lona», raconte Marc Salamin. C...
Réservé aux abonnés