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La ville baignée par la Vlatva offre un décor d'opéra pour esthètes mélomanes.

Sur un concerto de Vivaldi

04 mai 2012, 00:01
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Le printemps sied à la ville de Kafka, Dvorák et Havel. L'été, l'automne et l'hiver aussi, tant il est vrai que le calendrier se plaît à renouveler sans relâche l'éclairage des façades romanes, gothiques, Renaissance, baroques, Art nouveau ou cubistes de l'un des plus fabuleux ensemble architectural d'Europe. Un héritage miraculeusement épargné par les deux dernières guerres et les saignées urbaines endurées par d'autres capitales.

Prague la mélomane, qui sut accueillir si chaleureusement Mozart - notamment lors de la première de "Don Giovanni" - ne cesse de distiller tous les styles de musiques. Dans la cité aux cent clochers, difficile d'aborder un porche sans s'y voir proposer un billet pour le concert du jour.

Au programme de la kaléidoscopique chapelle des Miroirs (Clementinium), la persistance des "Quatre Saisons" du Vénitien Vivaldi voudrait-elle rappeler que Prague et la Sérénissime ont en commun du susciter l'addiction de leurs admirateurs, toujours avides de...

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