«Porc». «Baleine». Les mots sont comme tatoués sur la peau du jeune garçon, marquage à l’encre noire et au fer rouge d’une réalité qui touche en moyenne un à deux élèves par classe.
Comme dans le clip vidéo de leur single inaugural «Ocean Blues», le thème du harcèlement scolaire est au cœur du premier album – à venir – de Saint Mars, groupe indie pop international porté par le Bramoisien Cédric Aegerter et qui compte notamment dans ses rangs le guitariste de Massive Attack Angelo Bruschini.
Il y a quelques jours, Cédric Aegerter a lancé une campagne de financement participatif visant à faire connaître plus largement Saint Mars. Le canal: la plateforme suisse Amplify, qui invite à financer la diffusion de projets via des publicités sur les réseaux sociaux...