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Coupe du monde 2018: ils portent un regarde croisé sur le foot au Brésil et en Suisse

Avant Brésil-Suisse, dimanche, deux Valaisans exilés au Brésil et trois Brésiliens établis en Valais jettent un regard croisé sur le football et l’équipe nationale dans leur pays d’adoption. Ils comparent les deux cultures, prennent le pouls dans leur deuxième patrie et donnent leur pronostic avant la rencontre.

16 juin 2018, 05:56
Lucas Merklein, de Conselheiro Pena, évoluait en 1re division brésilienne. Il est arrivé en Suisse en 2004. Après des tests  à Grasshopper, il est retourné au Brésil en 2007. Le footballeur est définitivement revenu en Valais en 2009. Il a joué en amateur à Salquenen, Bramois et Ayent. Âgé de 36 ans aujourd’hui, il travaille  dans la métallurgie à Sierre.

V Marian Cernicky et Joël Berthouzoz d’un côté. Deux Valaisans qui vivent, pour l’un à l’année, pour l’autre durant quelques mois, au Brésil depuis quelques années. Lucilene Nanchen, Roberto Camatta et Lucas Merklein de l’autre côté. Eux sont des Brésiliens qui ont choisi de traverser l’Atlantique et de s’installer en Valais.

Les uns et les autres racontent comment le foot et l’équipe nationale sont perçus dans leur patrie d’adoption et jusqu’où iront, respectivement, le Brésil et la Suisse lors de cette Coupe du monde en Russie. Cinq regards croisés, cinq personnes qui ont choisi de vivre bien loin de leur pays d’origine. Mais que le football et la Coupe du monde ne laissent pas insensibles.

En savoir plus : Coupe du monde 2018: ils sont Brésiliens et ont porté le maillot du FC Sion, séquence souvenir avec ceux qui les ont côtoyés

La ferveur populaire

Comment le peuple brésilien, respectivement...

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