Développé par la HES-SO Valais, l’Idiap et Global ID, une spin-off de l’EPFL, cette nouvelle solution à bas coûts est destinée avant tout aux pays émergents. « Le système demande peu de maintenance, est bon marché et dépasse les normes actuelles de sécurité. Au Cameroun, il pourrait être utilisé pour permettre, ou non, l’accès à un service » explique Lambert Sonna, docteur en informatique et CEO de Global ID.
Cette solution d’identification utilise un mode de reconnaissance biométrique basé sur le réseau veineux du doigt. Soutenu par la CTI, le projet de recherche a coûté 700'000 francs sur 2 ans. Les porteurs du projet désirent produire un prototype manufacturé pour cet été, puis rechercher des investisseurs potentiels en Suisse et en Afrique.