Joël Robuchon, cuisinier du siècle, avait déjà rendu ses étoiles, victime du stress. Comme Alain Senderens. Comme Antoine Westermann. Olivier Roellinger en a fait de même, «pour raconter et partager (sa) cuisine autrement». A l’instar de Ferran Adria qui vient de tourner la page d’El Bulli, afin, nous a-t-il confié, «de communiquer (sa) cuisine différemment, comme une science et un art». En Suisse, pour des raisons diverses et complexes, on a enregistré coup sur coup les révérences d’un Pierroz, d’un Joris, et plus récemment d’un Rabaey et d’un Rochat. ...
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