C’est une gageure chaque année renouvelée. En pleine période de rentrée musicale, alors que les festivals de l’été s’étirent encore et de plus en plus, trouver des artistes qui sont d’accord de venir jouer gratuitement pour Terre des Hommes, d’engager leur temps, leur énergie pour la très belle cause défendue par l’organisation, à savoir sauver des vies d’enfants…
Mais bon an mal an, le pari est relevé par Philippe Gex, directeur de Terre des Hommes Valais, son équipe et ses parrains. La force de persuasion de ces derniers – Yannick Noah d’abord, puis Cali aujourd’hui – n’est d’ailleurs pas étrangère à la qualité de la programmation déployée. «C’est sûr, ça nous aide beaucoup, les contacts qu’ils ont, et la conviction qu’ils mettent en œuvre. Ce n’est pas pour autant simple de réunir une telle affiche», nuance Philippe Gex. Car les artistes, même acquis à la cause, ont des...