«Il faut absolument écrire que je remercie tout le peuple suisse. Ça fait trente ans que je viens à la Maison ici à Massongex. Je ne serais plus de ce monde si tout cela n’avait pas existé, c’est extraordinaire.» Le cri vient du cœur. Cheikh ressent le besoin de parler aux journalistes après avoir posé pour la photo en compagnie des enfants recueillis par Terre des hommes Valais (Tdh-VS).
A 47 ans, ce Mauritanien est revenu pour un contrôle du cœur. Comme ses plus jeunes colocataires, le père de sept enfants n’aurait probablement pas survécu sans l’aide de Terre des hommes. La fondation valaisanne vient de sortir le 150e numéro de son journal paraissant quatre fois par an et publié depuis 1977 grâce au soutien du «Nouvelliste».
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