un village interculturel

Des Somaliennes du centre des requérants d’asile des Barges qui tatouent au henné des Vouvryennes, voilà le genre de rencontres qu’a permis la fête interculturelle de Vouvry ce samedi. «Si on veut continuer à être un village, il faut créer du lien», explique Maryke Bonjean, directrice de la commission interculturelle et d’intégration. Alors, pour réussir le pari de l’interculturalité, des ateliers permettant de faire connaître la culture argentine, chinoise ou encore capverdienne ont été organisés. LM