«Si je devais refaire un livre, je demanderais de nouveau l'avis des enfants de Vétroz: leur regard sur mon conte a été précieux.» L'univers du conte est pourtant familier à Patricia Failletaz. Non seulement ceux de son père ont bercé son enfance - «Il changeait la fin de «La chèvre de M. Seguin» parce qu'il ne voulait pas que je sois triste!» - mais elle en utilise au quotidien dans sa pratique de psychologue-psychothérapeute FSP. Elle-même en invente, l'écriture faisant partie des activités qui la ressourcent.
Mais ici la visée était autre, puisqu'il s'agissait, à la demande de l'association ...