Verbier vit à l'heure électro depuis vendredi, et on peut dire qu'il s'agit d'une heure particulièrement éclatante. Avant d'accueillir ses premiers clubbers, le Polaris Festival était en effet déjà complet pour toutes ses dates. "C'est la première fois que cela m'arrive de toute ma vie d'organisateur", s'enthousiasme Raphaël Nanchen, co-organisateur de l'événement. Au total, environ 8'000 personnes auront profité des rythmes frénétiques jaillissant des platines des différentes scènes du festival.
Opération séduction
"Le Nouvelliste" s'est glissé samedi parmi les 1'500 festivaliers de la tente géante - la scène principale - suspendue aux pistes de ski surplombant Verbier. Une fois arrivé au sommet, les sourires accrochés sur les visages et les pas de danse improvisés sans gêne témoignent d'une belle vague de joie. "L'ambiance est vraiment décontractée, les gens discutent volontiers même s'ils ne se connaissent pas", livre Edouard, clubber genevois, dans la file du vestiaire.
L'ambiance durant le set de l'Américain Moodymann, samedi après-midi:
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