Ils ont décidé de ne rien décider. C’est ce qui est ressorti lundi de la réunion à Bellinzone entre les promoteurs de l’initiative «Les nôtres d’abord», le gouvernement tessinois et le bureau du président du Grand Conseil, qui réunit les chefs des groupes parlementaires.
Adoptée par 58% des votants le 25 septembre, l’initiative (qui concerne 62 000 frontaliers) exige la préférence à l’embauche pour les résidents. Déjà la semaine dernière, une rencontre pour discuter de sa mise en application avait été annulée.
Le rendez-vous de lundi devait définir les rôles et responsabilité...