Il est rouge, plus petit qu'une carte postale avec une croix blanche imprimée dessus et un peu plus bas un nouveau logo rectangulaire qui signifie qu'il contient une puce. Tel se présente le passeport biométrique qui n'a rien de révolutionnaire dans son apparence. Le diable se cache néanmoins dans les détails et le débat fait rage autour de la sécurité de la biométrie, de la protection des données, de la liberté de voyager, des conséquences d'un refus, etc. Débroussaillage.
Vrai: la banque de données n'est pas obligatoire
Effectivement, la Suisse fait du zèle. On peut très bien imaginer que ...