Nico Rosberg (Mercedes) a imposé un régime de fer sur le Grand Prix d’Europe à Bakou, où il s’est imposé sans trembler en partant de la pole position pour retrouver son emprise sur le championnat. «C’était un week-end super, tout s’est très bien passé. En course, je faisais ce que je voulais quand je le voulais», s’est réjoui le vainqueur d’un grand prix finalement beaucoup moins spectaculaire et intéressant qu’espéré.
Pour preuve, alors qu’il était loin devant et avait GP gagné sauf incident, il a établi le meilleur tour en course lors de la 48e des 51 boucles, à la moyenne de 203 km...