MANNHEIM
Seul Sean Simpson s'est pointé, hier vers midi, à la patinoire. Escorté du chef de presse de la fédération, il s'est exprimé au nom d'une équipe laissée au repos afin qu'elle puisse se concentrer sur l'énorme combat à livrer pour atteindre le dernier carré. «Mes joueurs avaient besoin de souffler, de vivre une journée loin d'ici. L'idée était aussi de briser la routine.» Le coach a fait office de paratonnerre pour préserver son groupe. Morceaux choisis de son discours d'avant-match.
» Enlever la pression
Même si le soufflé est retombé après deux prestations manquées (face à la Norvège, puis la Suède), les attentes suscitées par le début de parcours de l'équipe de Suisse demeurent grandes. Ce n'est pas l'avis du boss. «Ces attentes, les médias les créent. Au début des Mondiaux, nous espérions atteindre les quarts de finale. C'est fait. Ne me faites pas dire maintenant que ne pas...