Vingt et un ans. Entre Arno Del Curto et le HC Davos, l’histoire est éternelle. Lundi, le Grison de 60 ans aborde toutefois la Coupe Spengler dans une situation délicate dont il est peu habitué. Discussions à bâtons rompus avec une légende du hockey suisse.
Arno Del Curto, vendredi dernier, vous avez participé à la rencontre des clubs de ligue nationale avec les responsables des arbitres. Ce retour à la tolérance zéro, c’est vous?
Je n’ai rien à dire à ce sujet.
Rien?
Rien. Pas un mot. Il a été convenu de ne faire aucun commentaire, et je m’y tiens. Vous pouvez demander à quelqu’un d’autre. Moi, pour le moment, je ne dis rien. Je préfère attendre deux ou trois mois, voir ce que cela donne. Mon père m’a appris: «Un homme, une parole.» Alors, je dis non!
Passons. En 2017, l’équipe de Suisse prendra la place du deuxième club...