Ce manifestant se tenait avec d’autres devant le palais présidentiel, à Bucarest. Ils demandaient, hier, au président roumain Klaus Iohannis de ne pas promulguer une loi interdisant les études genre et de renvoyer le projet au Parlement. Grossièrement, les études genre considèrent que la masculinité et la féminité ne relèvent pas de la biologie, mais sont une construction sociale. Avec cette loi «la Roumanie s’aligne sur des positions promues par la Hongrie et la Pologne, devenant un régime qui introduit la police de la pensée», s’est indigné l’universitaire et sénateur Vlad Alexandrescu, dont les propos ont été rapportés dans le quotidien «La Croix».
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