Le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a esquissé, hier, un geste d'apaisement envers les manifestants qui réclament depuis huit jours sa démission dans la rue. Il a aussi essuyé un nouveau rappel à l'ordre de l'Europe sur les violences policières.
Très ferme contre les "vandales" et les "extrémistes" devant ses partisans, lors de son retour en Turquie dans la nuit de jeudi à hier, le chef du gouvernement s'est montré un peu plus conciliant dans l'après-midi devant un forum international. Il s'est déclaré prêt à entendre toutes les "revendications démocratiques".
"Nous sommes cont...