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Présidentielle française: les délires de la twittosphère après le grand débat entre Le Pen et Macron

Mercredi soir, plus de 16,5 millions de personnes ont suivi le grand débat télévisé entre les deux candidats à la présidentielle française. Les réseaux sociaux ont été noyés sous un tsunami de commentaires. Nous avons sélectionné les plus décalés.

04 mai 2017, 09:44
/ Màj. le 04 mai 2017 à 10:40
Cette expression de la journaliste résumait pour beaucoup d'internautes leur état d'esprit devant ce débat.

Les internautes ont beaucoup pointé du doigt la stérilité du débat.

 

 

 

D'autres ont regretté ne pas pouvoir suivre le match de foot en même temps que le débat.

 

 

Aux yeux des internautes, le gagnant du débat était sans conteste Emmanuel Macron. Ou était-ce plutôt Marine Le Pen qui était la grande perdante?

 

 

En effet, la quasi-totalité des commentaires visaient la candidate du FN, jugée agressive, mal préparée et hypocrite.

 

 

Ses reproches incessants envers Emmanuel Macron pour avoir été dans le gouvernement Hollande ont été tournés en dérision.

 

 

Ainsi que sa stratégie très offensive pour cacher un manque d'argument.

 

 

Le sourire forcé de la candidate a été l'objet de plusieurs railleries.

 

 

 

Mais c'est surtout cette gestuelle qui a été le plus relayée.

 

 

L'absence des pro-Marine Le Pen a été très remarquée sur les réseaux sociaux. Personne ou presque ne s'est levé pour défendre la candidate du FN.

 

 

Certains ont même débusqué des critiques de la part de ses électeurs.

 

 

Du côté de Macron, c'est surtout son expression "la poudre de perlinpinpin" qui a inspiré les tweetos.

 

 

Le rôle des journalistes dans ce débat a également été largement commenté. Ceux-ci étaient très effacés et n'arrivaient pas à recadrer les candidats.

 

 

Une alerte enlèvement fictive a même été lancée.

 

 

Les difficultés de Nathalie Saint-Cricq ont inspiré beaucoup d'empathie.

 

 

 

Certains auraient proposé d'autres animateurs pour cette émission.

 

 

Le débat a été jugé si pénible que c'était un exploit de le regarder.

 

 

 

Mais malgré tout, il y a ceux qui ont gardé leur esprit de grands romantiques.

 

 

Et puis il y a la synthèse de Thomas Wiesel.

 

 

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