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L’affaire Ferrand, premier couac de l’ère Macron

31 mai 2017, 23:05
/ Màj. le 01 juin 2017 à 00:01
In this photo taken on April 10, 2017, Emmanuel Macron's campaign chairman Richard Ferrand attends a press conference in Paris. Ferrand has been named Wednesday May 17, 2017 as French Territories Minister in French President President Emmanuel Macron's first cabinet. (AP Photo/Christophe Ena) FRANCE PRESIDENT

Premiers nuages sur la présidence Macron, qui s’était jusque-là déroulée sous un ciel bleu azur. Des accrocs liés au spectre des affaires, qui plane au-dessus de certains membres du gouvernement.

Un premier dossier concerne Marielle de Sarnez, la secrétaire d’Etat aux Affaires Européennes. Avec dix-huit autres eurodéputés, elle est visée par une enquête préliminaire du Parquet de Paris pour «abus de confiance». Le soupçon, qui fait suite à une dénonciation par Sophie Montel, une élue du Front National, concerne d’éventuels emplois fictifs d’assistants parlementaires au Parlement Européen.

Mais une seconde affaire paraît encore plus embarrassante pour le nouvel exécutif. C’est celle qui concerne le ministre de la cohésion des territoires, Richard Ferrand, le ministre de la Cohésion des territoires. La semaine dernière, le «Canard Enchaîné» révélait que l’ancien député socialiste du Finistère aurait fait profiter plusieurs de ses proches de contrats avec les Mutuelles de Bretagne, lorsqu’il en était le...

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