«La rencontre entre Camille Cottagnoud et Jack Preger a été très importante. Elle a permis la magie et le fait que Jack accepte d’être filmé», déclarait sur les ondes de la RTS Benoît Lange, réalisateur du film «Docteur Jack», tout juste arrivé sur les écrans.
Ce documentaire approche ¬ c’est une première ¬ l’homme derrière la figure de l’humanitaire (qui a notamment inspiré le film «La cité de la joie»), et au-delà de ses accomplissements, éclaire les rouages qui meuvent ce médecin anglais de 86 ans qui a consacré la moitié de sa vie à soigner les plus démunis au Bangladesh, puis à Calcutta et qui a lancé le mouvement mondial de la «street medicine».
Confiance, tact et doigté
Il est vrai que Jack Preger est réputé difficile à atteindre, et l’amener à se livrer à l’image a demandé énormément de confiance, de tact et de doigté. Ces dernières...