DE BARCELONE
«Aujourd'hui, le Tour est fini pour certains coureurs». Mardi à l'issue d'un fructueux chrono par équipes, Lance Armstrong assénait froidement son coup de poignard. Impayable pour dicter les règles du jeu psychologique, le septuple vainqueur du Tour de France retrouvait ses vieux réflexes de régent supérieur. Dépouillés, en guenilles, ses vassaux devaient prendre en compte leur nouveau statut de SDF dans l'aéropage des prétendants.
D'autant plus déprimés après s'être emmêlés les pédales dans la bordure littorale de la Grande-Motte, Cadel Evans (Silence-Lotto), Carlos Sastre (Cervé...