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Nerfs solides et adaptation

Alexandra Egli, presse.

14 mars 2013, 00:01

Aux heures de pointes, au service de presse du festival, le stress est à ce point palpable qu'on pourrait le râcler sur une assiette, religieuses comprises. Les journalistes déversent par pleins bloc-notes leurs demandent, parfois farfelues, et les attachés de presse composent avec les desiderata des artistes.

Un exercice d'équilibriste auquel ils répondent dans l'urgence, accusant au fil des jours des valises de fatigue sous les yeux. "C'est vrai que nous avons peu d'heures de sommeil" , sourit gentiment Alexandra Egli, responsable presse, tandis que son assistante Frédérique Nierlé acquiesce tout en répondant à un mail. "Je travaille depuis 15 ans comme attachée de presse pour des maisons de disque ou des festivals. Mais c'est mon premier mandat à Caprices. Lorsqu'on est en promotion pour un artiste, on ne s'occupe que de lui pendant plusieurs jours. Ici, il faut gérer chaque jour plusieurs artistes énormes..." Un travail plus que conséquent......

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