Le Bouveret - Un homme passé à tabac: précision

Dans le NF du 3 août 2011, vous évoquez l'innommable agression de ce monsieur de 48 ans qui "s'est fait frapper par une bande de jeunes dans la nuit de dimanche à lundi". Il est mentionné plus bas: "Deux autres bagarres se sont produites plus tôt dans la soirée du 31 juillet au Bouveret". Il ne s'agit pas de "bagarres", mais d'agressions sauvages et gratuites, d'une violence inouïe. Les faits sont minimisés dans ce petit encart du mercredi 3 août, alors qu'ils sont extrêmement graves. Une des victimes de ce qu'on appelle "bagarres", s'est fait tabasser, écraser au sol, un pied sur la figure et dépouiller. Il n'a rien vu venir, rien pu faire. Une situation terrifiante et traumatisante. Quand il a lu qu'il avait été impliqué dans une "bagarr "... Il y a peut-être eu des bagarres, ce soir-là au Bouveret. Je l'ignore. Ce que nous savons, c'est que des personnes paisibles qui se détendaient ont été sauvagement attaquées par des gens dangereux qui n'ont rien à faire en liberté. "Pas question de tolérer ce genre de comportement" précise M. Jean-Marie Bornet, chef de l'information de la police cantonale. Il faut comprendre par là – du moins nous l'espérons – que tout sera fait pour arrêter ces malfaiteurs et les enfermer. Ils ne sont pas de simples petits délinquants qui ont importuné des passants, mais de dangereux malfrats qui savent ce qu'ils font, sans scrupule aucun. En pensée sincère avec les victimes de ces agressions du 31 juillet au Bouveret.