Quand la Super League, en Suisse, est en veille depuis deux semaines et qu’on annule des matchs amicaux où les joueurs sont plus nombreux que les spectateurs et que dans le même temps, à quelques kilomètres de Bâle, ils sont toujours des dizaines de milliers à se frotter et à s’échanger des microbes dans les stades, il y a de quoi se poser des questions.
Quand on impose un huis clos pour PSG-Dortmund et que dans le même temps, on autorise ou on laisse des milliers de supporters s’entasser à quelques mètres du stade durant plus de deux heures, il y a de quoi, là, s’offusquer.
Quand les uns annulent, chez nous, un camp de tennis avec une dizaine de gamins ou un entraînement de foot et qu’ailleurs on maintient des courses mettant aux prises des athlètes en provenance du monde entier, il y a de quoi rester dubitatif.
Quand...