En tout début d’année, les communes de Mont-Noble et de Veysonnaz déposaient une demande de fusion auprès de la capitale. Le mois dernier, après la réponse favorable de la commune de Sion, une étude de fusion était lancée. Une affaire qui roule? Pas si vite. A Mont-Noble en particulier, des citoyens regrettent l’absence d’information et de débat.
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Trop important pour ne pas en discuter
«On ne peut pas aller vers Sion comme ça, les yeux fermés.» Installé sur le territoire de Mont-Noble, René Constantin, ancien président du PLRVS, entend fédérer un groupe pour élargir la discussion. «Ce n’est en aucun cas une démarche anti-Sion ou un désintérêt de ce projet qui fait peut-être sens, mais une volonté d’établir les enjeux, de prendre l’avis de la population et d’évaluer les alternatives. Bref, d’avoir toutes les cartes en mains...