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Valais: vivre en station, chronique d'un désamour

Les effectifs d’élèves de Verbier, Haute-Nendaz et Crans-Montana sont en baisse. Signe d’un désamour pour nos stations? Décryptage.

13 avr. 2019, 17:00
Vivre en station, un mode de vie de moins en moins choisi par les Valaisannes et les Valaisans.

Les stations ont-elles perdu leur attrait d’antan? Depuis plusieurs années à Verbier, Haute-Nendaz et Crans-Montana, les effectifs d’élèves ne cessent de diminuer. En quinze ans, les deux premières ont vu partir la moitié de leurs écoliers et Crans-Montana accueillait, l’année dernière, vingt élèves de moins que la rentrée précédente. Si le dépeuplement en station est évident, les communes, elles, montrent une croissance démographique constante, soulignant la différence de dynamique entre stations d’un côté et villages périphériques de l’autre.

A lire aussi: Trop nombreux à Basse-Nendaz, plus de vingt élèves devront poursuivre leur scolarité en station

Ce lent mouvement migratoire en direction de la plaine, Francis Dumas, président de la commune de Nendaz qui est aussi à la tête du Groupement de populations de montagne du Valais romand, l’explique par «une incitation de plus en plus vive à se rapprocher de la plaine». Publiée cette semaine, la première étude officielle sur...

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