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Tennis: Stan Wawrinka applique sur le court ce qu’il a tatoué sur son bras

Qu’il soit malade, au fond du lit, que la balle frappée avec application revienne encore et toujours, qu’il ait affaire à un inlassable défenseur, Stan Wawrinka ne renonce pas. D’ailleurs, c’est tatoué sur son bras. «Essaie. Echoue encore. Mais échoue un peu moins.» C’est l’histoire de sa vie sur le court. La chronique de Christophe Spahr, responsable des sports au «Nouvelliste».

27 janv. 2020, 19:00
Christophe Spahr, responsable des sports au «Nouvelliste».

Foot: à dix pour organiser l’échauffement de professionnels…

Un, deux, trois… Dix, finalement. Tous habillés en noir, couleur d’un survêtement ou d’un training idoines pour la circonstance. Mieux, la couleur marche aussi avec le résultat. Mais ça, ils ne le savaient pas encore. Bref, à les voir aussi nombreux sur le terrain synthétique de Thoune, à courir, à sautiller et à s’encourager, je me suis dit que le FC Sion avait quitté le rouge et blanc pour marquer la scission avec «l’automnus horribilis». Finalement, ce n’étaient pas les joueurs qui étaient en noir, mais bien les membres du staff, soit l’entraîneur, ses assistants et des préparateurs affectés à diverses tâches. Dix gars, donc, pour organiser l’échauffement d’une quinzaine de joueurs professionnels rompus à l’exercice depuis quinze, vingt ou trente ans. Il n’y a que moi que ça interpelle?

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