Innsbruck, Munich, Oslo, St. Moritz, toutes quatre ont refusé de recevoir le Jeux d’hiver à la suite d’une votation populaire. Le gigantisme, le déficit financier et les malversations au sein du Comité international olympique sont les principaux arguments qui ont entraîné ces différents refus. «Je suis moi-même inquiet avant le scrutin en juin pour Sion 2026. Le non d’Innsbruck (ndlr: le peuple tyrolien a refusé les Jeux à 53% le week-end dernier) fut une vilaine surprise en ce sens», reconnaît René Fasel, président de la Fédération internationale de hockey sur glace (IIHF) et membre du CIO. «Aujourd’hui, il existe une vraie méfiance de la part du peuple et c’est à nous de démontrer notre crédibilité et celle de Jeux olympiques.»
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Jouer la carte de la transparence
Pour rétablir la confiance, le Fribourgeois préconise «une discussion...