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Dans le viseur d’Olivier Hugon: «Pass ou pas pass: comment ça va se passer sur les pistes?»

16 oct. 2021, 05:30
Olivier Hugon, membre de la rédaction en chef

Le froid picote bien le matin. Les becquets sont légèrement blancs. Pas de doute, l’hiver arrive. Et avec lui, l’envie de skier qui commence à chatouiller les guiboles. Si la saison dernière a été passablement perturbée par la pandémie, on imaginait que, pour le millésime 2021/2022, tout serait rentré dans l’ordre, qu’on pourrait à nouveau s’entasser allègrement dans des cabines à 100 places avec la bouche du voisin à hauteur de narine, histoire de pouvoir repartager joyeusement nos miasmes quasi inoffensifs, comme à la belle époque.

Mais non. Le virus s’accroche. Depuis la fin de l’été, le pass sanitaire s’est imposé un peu partout chez nos voisins alpins. Cette semaine, en Italie, il est même devenu obligatoire… pour aller travailler. En Suisse, il est désormais généralisé.

Je skie. Beaucoup. J’ai skié l’hiver dernier. Et la fin de saison, avec du soleil, beaucoup de neige, des restaurants ouverts et des parkings...

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