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Anniviers: le début d'une belle aventure

Contact direct avec les commerçants, conseils, produits locaux, souvent bio, les épiceries développent aujourd’hui une offre très prisée. Nous sommes allés à leur rencontre en demandant à leurs gérants ou gérantes, quelles étaient leurs spécificités et leur rapport au terroir. Visite guidée à La Puchotaz à Mayoux.

03 mars 2020, 17:00
Ouvrir une épicerie en vrac dans un petit village relève du défi. Laura Iffland et Camille Zufferey ne manquent pas d'enthousiasme. Aux Anniviards maintenant de jouer le jeu.

Une petite centaine d’habitants.Une chapelle. Un café-épicerie-auberge. Tout ça posé sur un petit plateau entre Vissoie et Grimentz. C’est à Mayoux que Camille Zufferey et Laura Iffland relèvent le défi de faire revivre une épicerie.

«Ça nous tenait à cœur de proposer un mode de consommation différent, local, responsable et zéro déchet», lancent-elles en cœur. Car à la Puchotaz, on propose d’abord des produits de proximité, en vrac et de saison. Des règles qu’elles appliquent aussi au café-restaurant attenant.

Pour alimenter leurs stocks, elles démarchent les producteurs valaisans. «On s’approvisionne d’abord dans le Val d’Anniviers et pour étoffer notre offre, on s’éloigne petit à petit.» Côté fruits et légumes, elles vont installer un potager en permaculture, «pour vendre vraiment des produits d’ici». Et pour le zéro déchet, elles ont mis en place un partenariat avec «Chez Mamie» à Sion.

Les marchandises en vrac viennent de «Chez Mamie» à Sion...

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