«Cela a été l’enfer. Avant, j’avais un train de vie très élevé; je vivais avec 50 000 par mois», lâche l’accusée devant la juge Patrizia Métrailler, visiblement agacée. Car, à entendre cette septuagénaire française, sa rente de retraitée, ainsi que le versement au final d’une pension mensuelle de 35 000 francs par son mari, dont elle divorce, plus d’un bonus de 5 millions d’euros, ne lui suffisaient pas pour conserver son ancien train de vie luxueux, fait de voyages en avion privé entre les propriétés du Cap Ferret, de Paris (un 480 m2) et le chalet valaisan de 1000 m2.
Dans un chalet à plusieurs dizaines de millions
Aujourd’hui, malgré tout cet argent, cette femme est à sec financièrement. Et aux poursuites. Pire: elle vient d’être condamnée par le Tribunal de Sierre pour abus de confiance. Car, non contente de l’argent touché, elle a fait main basse sur presque tout...