Si aucun licenciement n’a été prononcé après l’annonce de la fermeture des guichets de PostFinance à Sion à la fin 2018 (cf. «Le Nouvelliste» du 10.04.2018), une seule des quatre employées concernées est, à ce jour, assurée d’être replacée dans l’entreprise.
Il n’existe, pour l’instant, aucune solution pour les trois autres collaboratrices qui travaillent toutes à temps partiel. «Nous sommes toujours en discussion avec ces trois employées qui bénéficient d’une protection calculée selon leur ancienneté, ce qui nous laisse le temps de les accompagner dans la recherche de solutions», explique Johannes Möri, porte-parole de PostFinance.
Etre à temps partiel est un handicap
Il est plus difficile de replacer ces collaboratrices travaillant à temps partiel à cause des exigences du plan social de PostFinance, justifie le porte-parole. «Celui-ci définit sous quelles conditions un changement du lieu de travail est acceptable. Pour une personne à 100%, un trajet de soixante minutes...