Mercredi dernier paraissait une dépêche, reprise par la plupart des quotidiens de Suisse romande, qui révélait une fin de collaboration douloureuse entre l’association qui gère le centre culturel et la curatrice de la Ferme-Asile Véronique Mauron, après onze ans de collaboration. Un licenciement décrit comme ayant été «d’une violence inouïe».
La nouvelle directrice Anne Jean-Richard Largey et le président de l’association Pierre-Christian de Roten se disent avoir été «surpris» de lire un article jugé «disproportionné, partial, voire inexact sur certains faits». Dans un courrier envoyé à divers partenaires culturels romands, Anne Jean-Richard Largey indique que le licenciement n’est en rien lié aux compétences de Mme Mauron, mais «a été motivé par des raisons structurelles, organisationnelles et économiques. Il résulte d’un constat qui a mis en exergue la nécessité de revoir l’organisation interne afin de pallier notamment le manque important en matière de gestion administrative.» La directrice précise que, contrairement à...