Lise Delaloye, beaucoup s’interrogent sur ce qui différencie la fondation IPT (Intégration pour tous) et l’OSEO (Œuvre suisse d’entraide ouvrière) par exemple…
Nous sommes dans le même domaine, mais nous sommes complémentaires. L’OSEO travaille beaucoup dans la pratique alors que nous mettons l’accent sur le coaching dans le but d’aider à construire un nouveau projet professionnel. Nous avons un large champ d’action: pour les employés, ça va des premiers pas dans le monde du travail à la réinsertion professionnelle et pour les entreprises, nous les aidons à concilier les aspects humains et les exigences économiques.
Avec le coronavirus, la tâche doit être immense?
Effectivement, nous avons de plus en plus de demandes de personnes en quête d’emploi, de personnes en fin de droits au chômage ou à l’aide sociale. Mais jusqu’ici, les employeurs ont bien joué le jeu, bien qu’on sente depuis le début de l’année que les entreprises traversent...