Le Service cantonal de la consommation et des affaires vétérinaires a délivré encore une fois ses bons et mauvais points aux établissements publics et sociétés qui fabriquent ou commercialisent des denrées alimentaires. Ses inspecteurs veillent au grain. Et multiplient les contrôles. L’an dernier, ils en ont effectué 3300!
Etablissements publics, boucheries, vins, châtaignes, charcuteries ou pâtes précuites: «Le Nouvelliste» a tiré quelques exemples du rapport annuel 2016 de ce service dirigé par le chimiste cantonal Elmar Pfammatter.
Mais ce dernier met en garde: comme les contrôles sont ciblés sur les secteurs où l’on suppose que des problèmes existent, la probabilité de trouver des anomalies est bien plus importante. «Dès lors, les résultats statistiques de ce rapport ne doivent pas être considérés comme représentatifs de la situation générale», avertit le chimiste.
Il n’empêche que ces contrôles basés sur le risque sont très pertinents.
Et permettent de consacrer les maigres ressources...