Il y a eu la picole, le Rallye international du Valais, la raclette, la flamme pour Johnny Hallyday. Mais aussi le 14 juin, un championnat de bodybuilding et les gypaètes barbus. Dans «Les toiles valaisannes II», spectacle dont il a tiré le rideau samedi à Dorénaz, Jean-Louis Droz a revisité l’actualité 2019 du canton.
Avec ses lunettes à lui d’humoriste tant bienveillant que bien dans ses baskets. Enfant du canton, comment considère-t-il cet endroit qui l’a forgé? Le blagueur s’est confié en sortant de scène.
Comment décririez-vous le Valais de 2019, en quelques mots?
Prosélytique, engagé. C’était un Valais de bagarres, de découverte et étonnant. Ce que j’ai pu voir, c’était un Valais différent.
En quoi était-il différent?
Il était un peu nouveau. On imagine parfois ce canton comme campagnard et renfermé sur lui-même… Eh bien, cette année, j’ai trouvé que c’était le contraire. J’ai eu l’impression que le tableau...