David Genolet, il y a un an et demi lorsque vous avez repris la présidence de Vinea, vous vouliez réveiller le côté novateur du Salon des vins suisses, faire vivre au public des expériences qui vont au-delà de la seule dégustation…
Le décès en avril d’Elisabeth Pasquier a ralenti nos projets. Nous avons dû mettre entre parenthèses les idées novatrices et nous concentrer sur l’existant pour garantir le bon déroulement des actions déjà programmées. Mais le but reste de travailler sur le Salon à long terme pour lui apporter un nouveau souffle. Le succès rencontré par les Vinea on Tour à Genève et Zurich – qui ont séduit un nouveau public – nous conforte dans cette idée.
Comment interprétez-vous le recul du Salon des vins suisses, dont la fréquentation, 6350 personnes l’an passé, est loin derrière celle de la Marche des cépages qui affiche 9000 participants, ainsi que la défection...