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Denis Rabaglia: «Je suis comme un cycliste qui, après les succès et le déclin, parvient à remporter à nouveau une étape d’un grand Tour»

Le réalisateur valaisan, qui sera prochainement l’un des hôtes du Festival de Locarno avec son nouveau long-métrage "Un ennemi qui te veut du bien", revient sur son parcours, ses réussites et ses échecs, et son regard sur le cinéma.

02 août 2018, 14:00
Denis Rabaglia: «C’est vrai que ça me fait très plaisir d’être à Locarno mais la question que je me pose est de savoir comment cet événement va s’inscrire dans mon histoire personnelle.»

Après dix ans d’absence, le réalisateur valaisan retrouve le grand écran et présente son nouveau long-métrage, «Un ennemi qui te veut du bien», au Festival de Locarno, sur la Piazza Grande, le mardi 7 août prochain.

En quoi consiste la trame de «Un ennemi qui te veut du bien»?
En quelques mots, il s’agit de l’histoire du professeur Enzo Stefanelli – interprété par Diego Abatantuono – qui sauve par hasard la vie d’un jeune homme, par ailleurs tueur de profession. Pour le remercier, le garçon lui promet d’éliminer un de ses ennemis. Ce nouveau film est une comédie noire sur nos amis supposés et nos ennemis réels.

Votre nouveau long-métrage va être projeté sur la Piazza Grande à l’occasion du Festival de Locarno. Est-ce, pour vous, une forme de consécration?
Je ne pense pas qu’il s’agisse...

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