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Au cœur de la teinture des œufs durs à Aproz

«Le Nouvelliste» s’est immiscé au sein de l’entreprise familiale Cocorico à Aproz, pour découvrir le processus de colorisation des œufs durs. On vous explique tout.

Les patrons de Cocorico Christophe et Daniel Ulmann nous disent tout (ou presque) sur le processus de fabrication de leurs œufs durs.

Pâques est la célébration la plus importante du christianisme. Elle fête la résurrection de Jésus. Dans une tonalité plus païenne, elle incarne le renouveau du printemps. C’est cette renaissance que les œufs durs, qu’on aime casser les uns contre les autres autour d’un repas, symbolisent. Ils sont le reflet de la germination qui se produit au début de la belle saison.

A cette occasion, à Aproz, l’entreprise familiale Cocorico met les grands moyens pour fournir les grands magasins en œufs durs colorés. Dans les douze semaines qui précèdent la fête, leur production augmente d’un tiers. Etape par étape, les patrons nous expliquent le processus complexe mis en place pour donner vie et couleurs à cet aliment phare de Pâques.

Une température de cuisson tenue secrète

Les œufs, une fois cuits dans une «marmite géante» remplie d’eau bouillante, sont roulés et colorés sur un tapis roulant enduit de peinture alimentaire. La...

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